Je vais d’abord essayer de répondre à cette question qui m’a été à plusieurs reprises posée. Y a-t-il une, ou des, différences entre la « Sophrologie Humaniste © » et les « autres sophrologies », comme la « Sophrologie Caycédienne ® », la Sophrologie Existentielle et bien d’autres …?
Comme j’ai déjà eu l’occasion de l’indiquer et de le préciser, j’ai été formé à la « Sophrologie Caycédienne ® » depuis 1986 …
Il faut savoir qu’à ce moment-là, le Professeur Alfonso Caycedo avait déjà entrepris la « chasse aux charlatans de la Sophrologie ». Dès l’année 1993, il crée les centres et les Écoles Caycédiennes de Sophrologie … Seuls les Sophrologues titulaires du Master Spécialistes en Sophrologie Caycédienne ® étaient autorisés à se faire connaître comme Sophrologue Caycédien et donc de pouvoir utiliser le terme de « caycédien » …
À ce titre, j’avais donc cette possibilité, puisque titulaire du « Master Spécialiste en Sophrologie Caycédienne ® » depuis 1992. Cependant, de mon point de vue, je ne vivais pas bien cette situation où le monde de la Sophrologie comprenait les « charlatans », les caycédiens (les vrais, les meilleurs et les seuls reconnus par le Professeur Alfonso Caycedo), et les autres (dont nombreux avaient été formés à la Sophrologie Caycédienne ®) mais, qui pour des raisons pas toujours connues avaient été victimes d’un soit-disant « nettoyage »…
J’ai fait alors le choix de prendre quelque distance avec une atmosphère qui ne correspondait pas à mes valeurs.
Le fait d’avoir créé l’Institut Européen de Sophrologie en 1993 (déclaré en Association loi 1901) me permet donc d’associer à Sophrologie un qualificatif qui ne fâche personne!
Mon choix s’est porté sur celui d' »Humaniste » car c’est celui, qui, à mes yeux, me semblait le plus juste et au plus près de l’intentionnalité de départ du Professeur Alfonso Caycedo alors qu’il découvrait comment les malades étaient pris en charge dans le monde de la psychiatrie …
J’ai donc pu continuer dans mon travail de recherche et d’application avec une certaine sérénité. Je n’avais pas à choisir « mon camp »: « pro-caycédien » ou opposé.
La seule chose qui m’animait, c’était le bien-être de mes élèves et faire de mon mieux pour leur transmettre les savoirs et les connaissances que j’avais moi-même acquis grâce à l’entraînement (la « répétition vivantielle »…).
Je me permets de rappeler ici que transmettre est l’essence même de mon métier d’Enseignant et d’Éducateur!
Je me permets de rappeler ici que transmettre est l’essence même de mon métier d’Enseignant et d’Éducateur!
« Enseigner, Éduquer, Transmettre », voilà un noble programme, mais tout dépend du contenu de ce « programme » que l‘on se prépare à enseigneret de la façon dont on va l’enseigner ».
La chose la plus importante est « nullius in verba« , locution latine qui signifie: « ne croyez personne sur parole, pensez par vous-même ».
Voilà pourquoi, à l’IESH, au-delà de toutes les formations présentes sur le « marché de la sophrologie, au-delà de toutes les formes de reconnaissance de fin d’études (diplômes, certificats, attestations), si cette reconnaissance nous accorde des droits, elle nous impose surtout des devoirs. N’oublions pas que l’élève, client, patient que nous avons accepté de prendre en charge et d’accompagner est une Personne!
La chose la plus importante est « nullius in verba« , locution latine qui signifie: « ne croyez personne sur parole, pensez par vous-même ».
Voilà pourquoi, à l’IESH, au-delà de toutes les formations présentes sur le « marché de la sophrologie, au-delà de toutes les formes de reconnaissance de fin d’études (diplômes, certificats, attestations), si cette reconnaissance nous accorde des droits, elle nous impose surtout des devoirs. N’oublions pas que l’élève, client, patient que nous avons accepté de prendre en charge et d’accompagner est une Personne!
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Au cours de mes recherches sur « Google », j’ai découvert un article sur les « thérapies Humanistes ». Parmi ces thérapies, la sophrologie n’apparait pas !
Je peux vous confirmer que la sophrologie que je pratique et que j’enseigne y a toute sa place …… Bonne lecture!
Thérapie humaniste
Né aux États Unis dans les années 1950, ce courant thérapeutique entendait se démarquer de la psychanalyse et des thérapies comportementales, et « remettre l’homme au centre de la psychologie »: le voir comme sujet responsable, libre de ses choix et de sa croissance. Il regroupe des approches aussi diverses que la gestaff, l’analyse bioénergétique, le psychodrame, l’analyse transactionnelle, l’approche centrée sur la personne, l’analyse psycho-organique, l’hypnothérapie, la psychosynthèse, la programmation neurolinguistique (PNL), le transpersonnel.
Leur point commun est de considérer l’individu dans ses cinq dimensions (physique, affective, cognitive, sociale et spirituelle), de prêter attention au corps (sensations, respiration, postures …) et aux émotions. Elles valorisent notre droit à être différent, à élaborer nos propres valeurs et à faire des choix singuliers. Influencées par la philosophie existentialiste, certaines prennent aussi en compte les questions importantes qui nous agitent (la liberté, la responsabilité, la quête de sens, la finitude, l’imperfection).
Elles durent souvent entre un et trois ans, se déroulent en face à face, en séances hebdomadaires individuelles ou en couple, et s’accompagnent volontiers de session en groupe.
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Le 13 mars 2021 l’IESH a félicité deux
de ses anciens élèves qui ont réussi leur
oral de fin d’études (3 années) devant le
jury convoqué pour l’occasion.
Il a été remis à chacun l' »Attestation justifiant son
Aptitude et sa Professionnalité à la
Pratique de la Sophrologie Humaniste © ».
À tous les deux,
Belle installation et beau parcours …!
