Florence et sophorencontre.

Il me semble que c’était il n’y a pas longtemps : je demandais un peu par hasard, après avoir aperçu la plaquette de l’IESH : qu’est ce que c’est cette formation ? J’étais tellement concentrée sur moi et mes séances individuelles que je ne me rendais pas compte que l’Institut avait une vie bien remplie !
Je m’étais alors dit : je ferais bien un jour cette formation; et me voilà 3 ans après cette formation !

Je me sens remplie et pourtant, allégée ! Je veux dire un grand merci ici en particulier à Martine, Christian S, Sandrine, Acha, Anne TL, Anne B, Isabelle, Christian G, Evelyne, Magali, Marie Christine.

Leur authenticité, notre travail à tous, m’a permis d’aller plus loin, très loin au fond de moi, de voir autre chose.

Formidable : travailler sur soi et voir autre chose, comme une dynamique, une ouverture !

Merci aussi à Marie-Claire, Jeannette et  Andrés. Autant de mots, d’explications, de schémas, autant de pistes nouvelles, d’idées, de réconfort.

Merci aussi à Jacques et aux personnes des groupes et des séances individuelles.

Avec vous tous, et, avec moi, ces 3 années constituent pour moi une étape clé de mon existence.
Avec vous tous et avec moi, j’ai senti qu’une voie était possible; j’ai senti que je pouvais me laisser glisser sur cette voie, celle-la même de mon mécanisme originel; cette autre voie qui est finalement la mienne !
L’autre et moi (l’autre émoi) alors que ce n’est qu’un.
Une révélation qui change ma vie !
Après cette formation, il y a la suite !

Tout ceci ne faisant qu’un, un fil solide qui se déroule, qui roule plus ou moins, qui rappelle le chemin que j’évoquais ici, il y a un an.
Les allers retours de la vie; les allers retours intérieur, extérieur.
L’extérieur c’est l’ouverture. Je pense alors à  tous les possibles à exploiter, à explorer pour poursuivre mon travail :
D’abord écouter mon écoute pour écouter toujours mieux, toujours plus.
Ensuite, travailler sur la respiration;
Travailler sur de nouvelles pistes, telles que la place dans la fratrie, qui me semble importante et conséquente.
M’intéresser au regard de l’autre : j’ai remarqué que souvent on pense, on parle à la place de l’autre.
Osons penser par nous mêmes !
J’ose penser davantage par moi-même. Je ne m’en porte que mieux.

Derrière tout ça il y a la communication. Orale ou écrite, comme la présente, elle n’en finit pas de parler, de nous appeler !

Amorcer la communication pour pouvoir désamorcer la peur de la communication.

Florence